Titre : | Actualisation des critères acoustiques et synthèse des données concernant le présumé Scotophilus sp. à La Réunion (Mascareignes, France) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Vincent Prié, Auteur ; Stéphane Augros, Auteur ; Guillaume Amirault, Auteur ; Yves Bas, Auteur ; [et al.], Auteur | Editeur : | Le Vespère | Année de publication : | 2016 | Importance : | p. 385-396 | Présentation : | couv. ill. en coul., cartogr. en coul., graph. en coul., graph. en noir et blanc | Langues : | Français | Mots-clés : | [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:CHIROPTERE [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:CHAUVE SOURIS [LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
| Résumé : | Parmi les diverses avancées dans la connaissance des chauves-souris de Madagascar et des Mascareignes, Scotophilus borbonicus reste une énigme. Dans cette note, nous présentons les résultats de plus de 3000 heures d’écoutes sur l’île de La Réunion (Mascareignes, France). Le type acoustique appelé Chiroptera sp. 1 est redécrit à la lumière des nouvelles données collectées. Les analyses multivariées réalisées sur des mesures de signaux sonar de Mormopterus francoismoutoui, Scotophilus robustus et Chiroptera sp. 1 permettent de distinguer les types acoustiques de M. francoismoutoui et S. robustus et suggèrent que Chiroptera sp. 1 est bien un taxon distinct qui pourrait appartenir au genre Scotophilus. Nous discutons des raisons pour lesquelles le nom Scotophilus borbonicus ne devrait pas être employé pour désigner Chiroptera sp. 1. Finalement, en nous basant sur la distribution des données collectées, nous suggérons que cette espèce vit préférentiellement dans le quart nord-ouest de l’île, en concordance possible avec la répartition historique de la forêt semi-sèche. La réduction drastique de cette forêt dans des zones aujourd’hui fortement urbanisées pourrait expliquer pourquoi Chiroptera sp. 1 est devenu si rare. | Note de contenu : | Vous pouvez retrouver la revue électronique "Le Vespère" à l'adresse suivante : | Nature du document : | Article scientifique | En ligne : | http://le-vespere.org/ | Format de la ressource électronique : | Site internet |
Actualisation des critères acoustiques et synthèse des données concernant le présumé Scotophilus sp. à La Réunion (Mascareignes, France) [texte imprimé] / Vincent Prié, Auteur ; Stéphane Augros, Auteur ; Guillaume Amirault, Auteur ; Yves Bas, Auteur ; [et al.], Auteur . - [S.l.] : Le Vespère, 2016 . - p. 385-396 : couv. ill. en coul., cartogr. en coul., graph. en coul., graph. en noir et blanc. Langues : Français Mots-clés : | [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:CHIROPTERE [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:CHAUVE SOURIS [LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
| Résumé : | Parmi les diverses avancées dans la connaissance des chauves-souris de Madagascar et des Mascareignes, Scotophilus borbonicus reste une énigme. Dans cette note, nous présentons les résultats de plus de 3000 heures d’écoutes sur l’île de La Réunion (Mascareignes, France). Le type acoustique appelé Chiroptera sp. 1 est redécrit à la lumière des nouvelles données collectées. Les analyses multivariées réalisées sur des mesures de signaux sonar de Mormopterus francoismoutoui, Scotophilus robustus et Chiroptera sp. 1 permettent de distinguer les types acoustiques de M. francoismoutoui et S. robustus et suggèrent que Chiroptera sp. 1 est bien un taxon distinct qui pourrait appartenir au genre Scotophilus. Nous discutons des raisons pour lesquelles le nom Scotophilus borbonicus ne devrait pas être employé pour désigner Chiroptera sp. 1. Finalement, en nous basant sur la distribution des données collectées, nous suggérons que cette espèce vit préférentiellement dans le quart nord-ouest de l’île, en concordance possible avec la répartition historique de la forêt semi-sèche. La réduction drastique de cette forêt dans des zones aujourd’hui fortement urbanisées pourrait expliquer pourquoi Chiroptera sp. 1 est devenu si rare. | Note de contenu : | Vous pouvez retrouver la revue électronique "Le Vespère" à l'adresse suivante : | Nature du document : | Article scientifique | En ligne : | http://le-vespere.org/ | Format de la ressource électronique : | Site internet |
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