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COMPETITION ECOLOGIQUE |



Conservation of endangered endemic seabirds within a multi-predator context : the Barau's petrel in Réunion island / Yves Dumont
Titre : Conservation of endangered endemic seabirds within a multi-predator context : the Barau's petrel in Réunion island Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Dumont, Auteur ; James C. Russell, Auteur ; Vincent Lecomte, Auteur ; Mathieu Lecorre, Auteur Editeur : Oxford : Wiley-Blackwell Année de publication : 2010 Collection : Natural Resource Modeling Importance : p. 381-436 Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOGEOGRAPHIE:ESPECE ENDEMIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:OISEAU:OISEAU DE MER
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[FAUNE] MAMMIFERES:CARNIVORES:FELIDES:FELIS CATUS
[FAUNE] MAMMIFERES:RONGEURS:MURIDES:RATTUS RATTUS
[FAUNE] OISEAUX:PROCELLARIIFORMES:PROCELLARIIDES:PTERODROMA BARAUIRésumé : Article paru dans le NATURAL RESOURCE MODELING (Volume 23, Number 3, August 2010) :
Les oiseaux de mer qui nichent sur les îles sont vulnérables aux prédateurs introduits, tels que les rats et les chats, et l'élimination de ces prédateurs est généralement considérée comme une priorité pour la conservation et la restauration des oiseaux de mer. Cependant, l'interaction de plusieurs espèces de mammifères envahissantes peut générer des résultats inattendus après le retrait (éradication) d'une espèce.
Généralement, ces interactions indirectes ne sont pas bien comprises ou démontrées. Nous proposons et étudions un modèle proie (oiseau de mer) - mésopredateur (rat) - superprédateur (chat), prenant en compte les stades juvéniles de la population de proies, afin d'orienter la gestion de la conservation pour la conservation des oiseaux de mer.
Nous donnons un système différentiel plus biologiquement réaliste que ceux étudiés auparavant (Courchamp et al. [1999]; Fan et al. [2005]), en particulier pour les espèces d'oiseaux de mer à vie longue. Nous présentons une étude théorique et montrons l'existence et le caractère unique d'une solution positive ainsi qu'une étude qualitative des équilibres qui peuvent apparaître.Nature du document : Article scientifique Conservation of endangered endemic seabirds within a multi-predator context : the Barau's petrel in Réunion island [texte imprimé] / Yves Dumont, Auteur ; James C. Russell, Auteur ; Vincent Lecomte, Auteur ; Mathieu Lecorre, Auteur . - Oxford : Wiley-Blackwell, 2010 . - p. 381-436. - (Natural Resource Modeling) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOGEOGRAPHIE:ESPECE ENDEMIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:OISEAU:OISEAU DE MER
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[FAUNE] MAMMIFERES:CARNIVORES:FELIDES:FELIS CATUS
[FAUNE] MAMMIFERES:RONGEURS:MURIDES:RATTUS RATTUS
[FAUNE] OISEAUX:PROCELLARIIFORMES:PROCELLARIIDES:PTERODROMA BARAUIRésumé : Article paru dans le NATURAL RESOURCE MODELING (Volume 23, Number 3, August 2010) :
Les oiseaux de mer qui nichent sur les îles sont vulnérables aux prédateurs introduits, tels que les rats et les chats, et l'élimination de ces prédateurs est généralement considérée comme une priorité pour la conservation et la restauration des oiseaux de mer. Cependant, l'interaction de plusieurs espèces de mammifères envahissantes peut générer des résultats inattendus après le retrait (éradication) d'une espèce.
Généralement, ces interactions indirectes ne sont pas bien comprises ou démontrées. Nous proposons et étudions un modèle proie (oiseau de mer) - mésopredateur (rat) - superprédateur (chat), prenant en compte les stades juvéniles de la population de proies, afin d'orienter la gestion de la conservation pour la conservation des oiseaux de mer.
Nous donnons un système différentiel plus biologiquement réaliste que ceux étudiés auparavant (Courchamp et al. [1999]; Fan et al. [2005]), en particulier pour les espèces d'oiseaux de mer à vie longue. Nous présentons une étude théorique et montrons l'existence et le caractère unique d'une solution positive ainsi qu'une étude qualitative des équilibres qui peuvent apparaître.Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_315 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees / Dave Goulson
Titre : Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees Type de document : texte imprimé Auteurs : Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2008 Collection : Biodiversity and Conservation Importance : 20 p. Présentation : graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees [texte imprimé] / Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur . - New-York : Springer, 2008 . - 20 p. : graph. en noir et blanc. - (Biodiversity and Conservation) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_591 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt Espèces exotiques envahissantes : Les nouvelles obligations des particuliers, associations, collectivités… à La Réunion / Agence française pour la biodiversité
Titre : Espèces exotiques envahissantes : Les nouvelles obligations des particuliers, associations, collectivités… à La Réunion Type de document : document électronique Auteurs : Agence française pour la biodiversité, Auteur ; Office national de la chasse et de la faune sauvage, Auteur Editeur : Ministère de la Transition écologique et solidaire Année de publication : 2019 Importance : 24 pages Présentation : photograph. Note générale : Document d'information présentant les espèces exotiques identifiées comme envahissantes à La Réunion. Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:ABONDANCE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:DOMINANCE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0202 - GESTION ET PROTECTION DE LA FAUNE ET DE LA FLORE:PROTECTION DE LA FLORE
[ECOPLANETE] 0500 - DROIT:0502 - DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:DROIT DE L'ENVIRONNEMENT
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONNote de contenu : Introduction. Qu’est-ce qu’une espèce exotique envahissante ? Certains animaux ou végétaux originaires d’autres territoires et introduits volontairement ou involontairement par l’Homme peuvent présenter une réelle menace pour notre biodiversité par prédation, compétition, transmission de maladies, hybridation avec les espèces locales, modification des milieux naturels, altération des services rendus par la nature, etc. Ils peuvent également occasionner des impacts négatifs sur les activités économiques voire sur la santé humaine.
Tous les milieux (terrestres, aquatiques et marins), et tout particulièrement les îles d’Outre-mer, sont impactés par ces espèces exotiques envahissantes.
Une nouvelle réglementation, traduction en droit français, notamment de la réglementation européenne, entre progressivement en vigueur en France depuis 2018 pour en limiter les effets négatifs. À La Réunion, toute
introduction dans le milieu naturel d’espèce végétale ou animale non indigène est désormais interdite (arrêté ministériel du 9 février 2018).De façon plus restrictive, une liste de 153 plantes envahissantes ou
potentiellement envahissantes a été publiée le 1er avril 2019, pour lesquelles tous les usages portant sur des spécimens vivants sont interdits. Quelques-unes d’entre elles sont illustrées dans ce document d’information.Nature du document : Guide pratique Espèces exotiques envahissantes : Les nouvelles obligations des particuliers, associations, collectivités… à La Réunion [document électronique] / Agence française pour la biodiversité, Auteur ; Office national de la chasse et de la faune sauvage, Auteur . - Paris : Ministère de la Transition écologique et solidaire, 2019 . - 24 pages : photograph.
Document d'information présentant les espèces exotiques identifiées comme envahissantes à La Réunion.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:ABONDANCE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:DOMINANCE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0202 - GESTION ET PROTECTION DE LA FAUNE ET DE LA FLORE:PROTECTION DE LA FLORE
[ECOPLANETE] 0500 - DROIT:0502 - DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:DROIT DE L'ENVIRONNEMENT
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONNote de contenu : Introduction. Qu’est-ce qu’une espèce exotique envahissante ? Certains animaux ou végétaux originaires d’autres territoires et introduits volontairement ou involontairement par l’Homme peuvent présenter une réelle menace pour notre biodiversité par prédation, compétition, transmission de maladies, hybridation avec les espèces locales, modification des milieux naturels, altération des services rendus par la nature, etc. Ils peuvent également occasionner des impacts négatifs sur les activités économiques voire sur la santé humaine.
Tous les milieux (terrestres, aquatiques et marins), et tout particulièrement les îles d’Outre-mer, sont impactés par ces espèces exotiques envahissantes.
Une nouvelle réglementation, traduction en droit français, notamment de la réglementation européenne, entre progressivement en vigueur en France depuis 2018 pour en limiter les effets négatifs. À La Réunion, toute
introduction dans le milieu naturel d’espèce végétale ou animale non indigène est désormais interdite (arrêté ministériel du 9 février 2018).De façon plus restrictive, une liste de 153 plantes envahissantes ou
potentiellement envahissantes a été publiée le 1er avril 2019, pour lesquelles tous les usages portant sur des spécimens vivants sont interdits. Quelques-unes d’entre elles sont illustrées dans ce document d’information.Nature du document : Guide pratique Étude des interactions écologiques entre l’abeille domestique et les abeilles sauvages dans un espace naturel protégé : le massif de la Côte Bleue, site du Conservatoire du Littoral / Mickaël Henry
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Titre : Étude des interactions écologiques entre l’abeille domestique et les abeilles sauvages dans un espace naturel protégé : le massif de la Côte Bleue, site du Conservatoire du Littoral Type de document : texte imprimé Auteurs : Mickaël Henry, Auteur ; Guy Rodet, Auteur Editeur : Avignon : Institut National de Recherche Agronomique (INRA) Année de publication : 2018 Autre Editeur : Aix-en-Provence : Association de développement de l'Apiculture Provençale (ADAPI) Importance : 10 p. Présentation : graph. en coul., cartogr. en coul. Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:ESPACE NATUREL
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0703 - PRODUCTION ANIMALE - ELEVAGE:APICULTUREMots-clés : INTERFÉRENCE ÉCOLOGIQUE POLLINISATION Résumé : L’intensification de l’agriculture a profondément modifié les paysages ruraux au cours des cinq dernières décennies, affectant la durabilité des exploitations apicoles. L’apiculture productive a désormais recours à des transhumances saisonnières, parfois massives, vers des espaces naturels protégés. Avec les sollicitations croissantes des apiculteurs, les gestionnaires des espaces protégés expriment aujourd’hui des inquiétudes quant aux risques d’interférences écologiques entre les abeilles domestiques (Apis mellifera) et les autres insectes butineurs au sein des réseaux naturels d’interactions plantes-pollinisateurs. Dans cette optique, le Conservatoire du Littoral a commandité cette étude, visant à vérifier l’existence d’une compétition entre abeilles sauvages et domestiques lors de la miellée de romarin sur le massif de la Côte Bleue (Bouches-du-Rhône), et, le cas échéant, à identifier des critères écologiques ou des règles de décisions pour guider la régulation de l’apiculture dans ce type d’espace naturel. L’étude s’est basée sur des comptages standardisés d’abeilles butineuses et des estimations de leur succès de collecte de nectar et de pollen. Trois principaux résultats sont à souligner : (1) l’existence d’une compétition pour l’exploitation des ressources florales est confirmée, et s’étend sur des distances variant de 600 à 1200m autour des ruchers, selon le paramètre écologique considéré ; (2) ces rayons définissent des « zones d’emprise » des ruchers, et constituent des critères de régulation de l’apiculture plus simples à mettre en oeuvre que les notions de densité de colonies ; (3) un phénomène de compétition intra-spécifique entre abeilles domestiques elles-mêmes a été détecté au niveau individuel, et méritera d’être exploré plus en détail à l’échelle de la colonie (impact sur le rendement en miel ou sur la démographie au cours de la saison). Des recommandations sont proposées et discutées sur la base de ces résultats et des conditions spécifiques de l’étude. Nature du document : Etude Étude des interactions écologiques entre l’abeille domestique et les abeilles sauvages dans un espace naturel protégé : le massif de la Côte Bleue, site du Conservatoire du Littoral [texte imprimé] / Mickaël Henry, Auteur ; Guy Rodet, Auteur . - Avignon : Institut National de Recherche Agronomique (INRA) : Aix-en-Provence : Association de développement de l'Apiculture Provençale (ADAPI), 2018 . - 10 p. : graph. en coul., cartogr. en coul.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:ESPACE NATUREL
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0703 - PRODUCTION ANIMALE - ELEVAGE:APICULTUREMots-clés : INTERFÉRENCE ÉCOLOGIQUE POLLINISATION Résumé : L’intensification de l’agriculture a profondément modifié les paysages ruraux au cours des cinq dernières décennies, affectant la durabilité des exploitations apicoles. L’apiculture productive a désormais recours à des transhumances saisonnières, parfois massives, vers des espaces naturels protégés. Avec les sollicitations croissantes des apiculteurs, les gestionnaires des espaces protégés expriment aujourd’hui des inquiétudes quant aux risques d’interférences écologiques entre les abeilles domestiques (Apis mellifera) et les autres insectes butineurs au sein des réseaux naturels d’interactions plantes-pollinisateurs. Dans cette optique, le Conservatoire du Littoral a commandité cette étude, visant à vérifier l’existence d’une compétition entre abeilles sauvages et domestiques lors de la miellée de romarin sur le massif de la Côte Bleue (Bouches-du-Rhône), et, le cas échéant, à identifier des critères écologiques ou des règles de décisions pour guider la régulation de l’apiculture dans ce type d’espace naturel. L’étude s’est basée sur des comptages standardisés d’abeilles butineuses et des estimations de leur succès de collecte de nectar et de pollen. Trois principaux résultats sont à souligner : (1) l’existence d’une compétition pour l’exploitation des ressources florales est confirmée, et s’étend sur des distances variant de 600 à 1200m autour des ruchers, selon le paramètre écologique considéré ; (2) ces rayons définissent des « zones d’emprise » des ruchers, et constituent des critères de régulation de l’apiculture plus simples à mettre en oeuvre que les notions de densité de colonies ; (3) un phénomène de compétition intra-spécifique entre abeilles domestiques elles-mêmes a été détecté au niveau individuel, et méritera d’être exploré plus en détail à l’échelle de la colonie (impact sur le rendement en miel ou sur la démographie au cours de la saison). Des recommandations sont proposées et discutées sur la base de ces résultats et des conditions spécifiques de l’étude. Nature du document : Etude Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_592 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt Documents numériques
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Henry_et_Rodet_-_2018_-_Étude_des_interactions_écologiques_entre_l’abeille.pdfAdobe Acrobat PDFLes fourmis envahissantes de l'île de la Réunion : Interactions compétitives et facteurs d'invasion / Fabrice Blard
Titre : Les fourmis envahissantes de l'île de la Réunion : Interactions compétitives et facteurs d'invasion Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Blard, Auteur Editeur : Saint-Denis : Université de La Réunion Année de publication : 2006 Importance : 1 vol. (137 p.) Présentation : photogr. en coul. Format : 30 cm Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOSPHERE:ECOSYSTEME:ECOSYSTEME TERRESTRE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:INSECTE RAVAGEUR
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:FOURMI
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:CONSERVATION DE LA NATURE
[ECOPLANETE] 1300 - AIR ET CLIMAT:1301 - CLIMAT ET METEOROLOGIE:METEOROLOGIE:PERTURBATION METEOROLOGIQUE:PRECIPITATION ATMOSPHERIQUE:PLUIE:PLUVIOMETRIE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:SCIENCES SOCIALES:PSYCHOSOCIOLOGIE:PERCEPTION DE L'ENVIRONNEMENT:SENSIBILITE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE
[ECOPLANETE] 1800 - TYPES DE DOCUMENTS (ancien):THESE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONMots-clés : THESE PHEIDOLE MEGACEPHALA SOLENOPSIS GEMINATA ANOPLOLEPIS GRACILIPES MYRMECOFAUNE Résumé : Extrait du résumé :
L'île de la Réunion compte un grand nombre de fourmis introduites parmi lesquelles Pheidole megacephala, Solenopsis geminata et Anoplolepis gracilipes représentent 3 des 6 espèces les plus néfastes pour les milieux qu'elles envahissent. La présente étude porte sur les relations compétitives entre ces trois espèces, ainsi que sur les facteurs liés à leur succès dans l'invasion des milieux. A partir de l'échantillonnage de différents milieux à l'aide d'appâts, la distribution et la dominance des différentes espèces de fourmis a pu être établie. Les résultats indiquent que cette dominance est directement gouvernée par les conditions environnementales du milieu, expliquant notamment l'absence des fourmis invasives dans les formations naturelles échantillonnées.
Se pose également la question : dans quelle mesure la structure de la végétation détermine la sensibilité d'un milieu aux invasions ? Après observations et études, les résultats montrent que l'abondance des espèces envahissantes et le nombre d'appâts monopolisés diminuent avec la fermeture progressive du milieu.
Au sommaire :
INTRODUCTION :
- Les invasions biologiques;
- Les fourmis comme envahisseurs;
-Problématique et plan de thèse;
CHAPITRE 1 : L'ILE DE LA REUNION ET SA MYRMECOFAUNE
- Lîle de la Réunion
- Myrmécofaune de l'île;
- Les trois espèces envahissantes;
CHAPITRE 2 : LES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX COMME CONDITIONS DE DOMINANCE DES ESPECES TOXIQUES
- Article 1 : How environmental factors govern invasion success and competitive hierarchy among exotic ants: a case study on Reunion Island;
CHAPITRE 3 : COMPETITION ENTRE ESPECES ENVAHISSANTES : L'AVANTAGE DU NOMBRE
- Article 2 : Interactions between two invasive species: the role of competition on invasiveness;
- Article 3 : A "real-false" invasive specie: the case of the yellow crazy ant on Reunion Island;
CHAPITRE 4 : IMPORTANCE DES CONDITIONS ENVIRONNEMENTALES DANS LE SUCCES D'INVASION
- Article 4 : Successional changes in invasiveness: the role of vegetation structure in invasive ants success.
DISCUSSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXESNote de contenu : Université de la Réunion, Faculté des Sciences et Technologies.
Thèse de Doctorat, Biologie des Populations - Ecologie.
Soutenue le 6 décembre 2006.
Membres du jury : STRASBERG Dominique, président; LENOIR Alain, rapporteur; GIRAUX Tatiana, rapporteur; DELABIE Jacques, examinateur; REYNAUD Bernard, examinateur; ROCHAT Jacques, examinateur.Nature du document : Thèse Les fourmis envahissantes de l'île de la Réunion : Interactions compétitives et facteurs d'invasion [texte imprimé] / Fabrice Blard, Auteur . - Saint-Denis : Université de La Réunion, 2006 . - 1 vol. (137 p.) : photogr. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOSPHERE:ECOSYSTEME:ECOSYSTEME TERRESTRE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:INSECTE RAVAGEUR
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:FOURMI
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:CONSERVATION DE LA NATURE
[ECOPLANETE] 1300 - AIR ET CLIMAT:1301 - CLIMAT ET METEOROLOGIE:METEOROLOGIE:PERTURBATION METEOROLOGIQUE:PRECIPITATION ATMOSPHERIQUE:PLUIE:PLUVIOMETRIE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:SCIENCES SOCIALES:PSYCHOSOCIOLOGIE:PERCEPTION DE L'ENVIRONNEMENT:SENSIBILITE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE
[ECOPLANETE] 1800 - TYPES DE DOCUMENTS (ancien):THESE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONMots-clés : THESE PHEIDOLE MEGACEPHALA SOLENOPSIS GEMINATA ANOPLOLEPIS GRACILIPES MYRMECOFAUNE Résumé : Extrait du résumé :
L'île de la Réunion compte un grand nombre de fourmis introduites parmi lesquelles Pheidole megacephala, Solenopsis geminata et Anoplolepis gracilipes représentent 3 des 6 espèces les plus néfastes pour les milieux qu'elles envahissent. La présente étude porte sur les relations compétitives entre ces trois espèces, ainsi que sur les facteurs liés à leur succès dans l'invasion des milieux. A partir de l'échantillonnage de différents milieux à l'aide d'appâts, la distribution et la dominance des différentes espèces de fourmis a pu être établie. Les résultats indiquent que cette dominance est directement gouvernée par les conditions environnementales du milieu, expliquant notamment l'absence des fourmis invasives dans les formations naturelles échantillonnées.
Se pose également la question : dans quelle mesure la structure de la végétation détermine la sensibilité d'un milieu aux invasions ? Après observations et études, les résultats montrent que l'abondance des espèces envahissantes et le nombre d'appâts monopolisés diminuent avec la fermeture progressive du milieu.
Au sommaire :
INTRODUCTION :
- Les invasions biologiques;
- Les fourmis comme envahisseurs;
-Problématique et plan de thèse;
CHAPITRE 1 : L'ILE DE LA REUNION ET SA MYRMECOFAUNE
- Lîle de la Réunion
- Myrmécofaune de l'île;
- Les trois espèces envahissantes;
CHAPITRE 2 : LES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX COMME CONDITIONS DE DOMINANCE DES ESPECES TOXIQUES
- Article 1 : How environmental factors govern invasion success and competitive hierarchy among exotic ants: a case study on Reunion Island;
CHAPITRE 3 : COMPETITION ENTRE ESPECES ENVAHISSANTES : L'AVANTAGE DU NOMBRE
- Article 2 : Interactions between two invasive species: the role of competition on invasiveness;
- Article 3 : A "real-false" invasive specie: the case of the yellow crazy ant on Reunion Island;
CHAPITRE 4 : IMPORTANCE DES CONDITIONS ENVIRONNEMENTALES DANS LE SUCCES D'INVASION
- Article 4 : Successional changes in invasiveness: the role of vegetation structure in invasive ants success.
DISCUSSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXESNote de contenu : Université de la Réunion, Faculté des Sciences et Technologies.
Thèse de Doctorat, Biologie des Populations - Ecologie.
Soutenue le 6 décembre 2006.
Membres du jury : STRASBERG Dominique, président; LENOIR Alain, rapporteur; GIRAUX Tatiana, rapporteur; DELABIE Jacques, examinateur; REYNAUD Bernard, examinateur; ROCHAT Jacques, examinateur.Nature du document : Thèse Réservation
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Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PNR0000005428 103.04 BLA Ouvrage Centre de documentation siège Espèces invasives Disponible Increased density of honeybee colonies affects foraging bumblebees / Kerstin Walther-Hellwig
PermalinkSpeciation on islands: what are we learning? / Brent C. Emerson
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