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Autochtonie et migrations dans les sites du patrimoine naturel de l’Unesco / Igor Babou
Titre : Autochtonie et migrations dans les sites du patrimoine naturel de l’Unesco Type de document : texte imprimé Auteurs : Igor Babou, Auteur Editeur : Bruxelles : Association internationale des sociologues de langue française Année de publication : 2013 Collection : SociologieS Importance : 17 p. Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:PATRIMOINE NATUREL
[ECOPLANETE] 0600 - TERRITOIRES:0604 - TOURISME ET PATRIMOINE:PROTECTION DU PATRIMOINE:PATRIMOINE CULTUREL
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:DEMOGRAPHIE:POPULATION HUMAINE:MIGRATION HUMAINE
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL MATERIELMots-clés : AUTOCHTONIE RESSOURCES CULTURELLES UNESCO Résumé : Toutes les populations bénéficient-elles des mêmes possibilités d’émergence sur la scène sociale et politique offertes par le contexte de l’universalisme du patrimonial de l’Unesco ? On traitera cette question à la lumière d’une comparaison entre certains peuples autochtones vivant dans des sites patrimonialisés (on s’appuiera ici sur une revue de la littérature décrivant des sites du patrimoine mondial) et une population de migrants résidant dans un parc naturel Unesco argentin (on s’appuiera alors sur l’ethnographie de ce territoire et de sa patrimonialisation). La comparaison portera sur les appuis symboliques et matériels de l’action de ces populations. Nature du document : Article scientifique Autochtonie et migrations dans les sites du patrimoine naturel de l’Unesco [texte imprimé] / Igor Babou, Auteur . - Bruxelles : Association internationale des sociologues de langue française, 2013 . - 17 p.. - (SociologieS) .
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:PATRIMOINE NATUREL
[ECOPLANETE] 0600 - TERRITOIRES:0604 - TOURISME ET PATRIMOINE:PROTECTION DU PATRIMOINE:PATRIMOINE CULTUREL
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:DEMOGRAPHIE:POPULATION HUMAINE:MIGRATION HUMAINE
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL MATERIELMots-clés : AUTOCHTONIE RESSOURCES CULTURELLES UNESCO Résumé : Toutes les populations bénéficient-elles des mêmes possibilités d’émergence sur la scène sociale et politique offertes par le contexte de l’universalisme du patrimonial de l’Unesco ? On traitera cette question à la lumière d’une comparaison entre certains peuples autochtones vivant dans des sites patrimonialisés (on s’appuiera ici sur une revue de la littérature décrivant des sites du patrimoine mondial) et une population de migrants résidant dans un parc naturel Unesco argentin (on s’appuiera alors sur l’ethnographie de ce territoire et de sa patrimonialisation). La comparaison portera sur les appuis symboliques et matériels de l’action de ces populations. Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_603 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Patrimoine culturel Exclu du prêt Reconnaissance de l’autochtonie et déclinisme environnemental au sein des Parcs nationaux français. L'exemple du Parc national de La Réunion
Titre : Reconnaissance de l’autochtonie et déclinisme environnemental au sein des Parcs nationaux français. L'exemple du Parc national de La Réunion Type de document : document électronique Editeur : [France] : Bordeaux : Université de Bordeaux, IRSTEA Année de publication : 2019 Importance : 456 pages Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE GUYANE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE LA REUNION
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:SCIENCES SOCIALES:SOCIOLOGIE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL:CONNAISSANCE ET PRATIQUE DE LA NATURE:SAVOIR AUTOCHTONEMots-clés : Parcs nationaux français Réforme des parcs Ile de La Réunion Justice environnementale Inégalité environnementale Autochtonie Reconnaissance Capital environnemental autochtone Récits Territoire postcolonial Écologisation. Résumé : Résumé de l'auteur. Cette thèse a pour principal objet la reconnaissance du local et de l’autochtonie au sein des aires protégées en général et des Parcs nationaux français en particulier. Du global au local, elle tend à voir ce processus comme résultante de la montée en puissance d’un principe axiologique non nécessairement nouveau, mais qui conditionne néanmoins de manière croissante la légitimité et l’efficacité de l’action publique environnementale. La reconnaissance du local et de l’autochtonie serait ainsi en particulier internationalement devenue l’une des conditions de réalisation d’une plus grande justice environnementale au sein des aires protégées. Nous interrogeons comment ce processus a pu s’étendre aux Parcs nationaux français à travers notamment l’analyse des causes et des effets de leur récente réforme (2006). Comment cette reconnaissance a-t-elle pu se voir reprise et éventuellement redéfinie dans l’institutionnalisation des Parcs nationaux dits de « nouvelle génération » ? Par suite, à quels effets, nouveaux ou non, cette reconnaissance « à la française » permet-elle d’aboutir localement, en matière d’inégalité environnementale ? Notre démonstration s’appuie sur la notion de capital d’autochtonie (Retière, 2003) et soutient que les groupes sociaux locaux à même d’administrer la preuve de leur « capital environnemental autochtone » auprès des instances gestionnaires des Parcs nationaux seraient les plus à même de conserver intacts leurs usages de ces aires protégées.
Pour mieux traiter notre problématique d’une reconnaissance du local « sous conditions », nous avons concentré sans nous y limiter, nos efforts d’enquête sur le récent Parc national de La Réunion (2007), présenté avec le Parc amazonien de Guyane et le Parc national des Calanques comme parcs de nouvelle génération. Cette enquête, s’appuyant sur plusieurs autres points de comparaison, conduit à entrevoir le Parc national de La Réunion (PNRun) comme un cadre intégrateur écocentré de différents récits globaux et territoriaux. Le déclinisme environnemental, à la fois local et mondialisé, est le plus prééminent de ces récits. Des récits de valorisation de la culture créole et de rattrapage économique lui coexiste néanmoins et le PNRun, enjoint à les reconnaitre au regard de la doctrine du développement durable, apparait comme une combinatoire sans cesse mouvante et instable d’un compromis entre ces trois récits potentiellement contradictoires.
La conflictualité coutumière des Parcs nationaux français (Larrère et al., 2009) peut ainsi se comprendre à la lueur d’une concurrence des récits et de leurs porteurs, qui peuvent contester ou soutenir la manière propre au Parc national d’administrer, mais aussi de « mettre en récit » le territoire qui le supporte. Le défi actuel des Parcs nationaux français consiste, au regard de la réforme de 2006, à permettre et à accepter que cette mise en récit soit le fruit d’une co-construction élargie, et non plus d’un exercice réservé aux élites scientifiques, politiques et sociales qui ont toujours constitué ses publics de prédilection. En contexte postcolonial comme sur l’ile de La Réunion, ce défi parait d’autant plus aigu que le « concernement » local pour une mise en récit qui soit réparatrice d’injustices culturelle, sociale et environnementale est important, voire sine qua non.Nature du document : Thèse Reconnaissance de l’autochtonie et déclinisme environnemental au sein des Parcs nationaux français. L'exemple du Parc national de La Réunion [document électronique] . - [S.l.] : [France] : Bordeaux : Université de Bordeaux, IRSTEA, 2019 . - 456 pages.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE GUYANE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE LA REUNION
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1701 - SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES:SCIENCES SOCIALES:SOCIOLOGIE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL
[PATRIMOINE CULTUREL] PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL:CONNAISSANCE ET PRATIQUE DE LA NATURE:SAVOIR AUTOCHTONEMots-clés : Parcs nationaux français Réforme des parcs Ile de La Réunion Justice environnementale Inégalité environnementale Autochtonie Reconnaissance Capital environnemental autochtone Récits Territoire postcolonial Écologisation. Résumé : Résumé de l'auteur. Cette thèse a pour principal objet la reconnaissance du local et de l’autochtonie au sein des aires protégées en général et des Parcs nationaux français en particulier. Du global au local, elle tend à voir ce processus comme résultante de la montée en puissance d’un principe axiologique non nécessairement nouveau, mais qui conditionne néanmoins de manière croissante la légitimité et l’efficacité de l’action publique environnementale. La reconnaissance du local et de l’autochtonie serait ainsi en particulier internationalement devenue l’une des conditions de réalisation d’une plus grande justice environnementale au sein des aires protégées. Nous interrogeons comment ce processus a pu s’étendre aux Parcs nationaux français à travers notamment l’analyse des causes et des effets de leur récente réforme (2006). Comment cette reconnaissance a-t-elle pu se voir reprise et éventuellement redéfinie dans l’institutionnalisation des Parcs nationaux dits de « nouvelle génération » ? Par suite, à quels effets, nouveaux ou non, cette reconnaissance « à la française » permet-elle d’aboutir localement, en matière d’inégalité environnementale ? Notre démonstration s’appuie sur la notion de capital d’autochtonie (Retière, 2003) et soutient que les groupes sociaux locaux à même d’administrer la preuve de leur « capital environnemental autochtone » auprès des instances gestionnaires des Parcs nationaux seraient les plus à même de conserver intacts leurs usages de ces aires protégées.
Pour mieux traiter notre problématique d’une reconnaissance du local « sous conditions », nous avons concentré sans nous y limiter, nos efforts d’enquête sur le récent Parc national de La Réunion (2007), présenté avec le Parc amazonien de Guyane et le Parc national des Calanques comme parcs de nouvelle génération. Cette enquête, s’appuyant sur plusieurs autres points de comparaison, conduit à entrevoir le Parc national de La Réunion (PNRun) comme un cadre intégrateur écocentré de différents récits globaux et territoriaux. Le déclinisme environnemental, à la fois local et mondialisé, est le plus prééminent de ces récits. Des récits de valorisation de la culture créole et de rattrapage économique lui coexiste néanmoins et le PNRun, enjoint à les reconnaitre au regard de la doctrine du développement durable, apparait comme une combinatoire sans cesse mouvante et instable d’un compromis entre ces trois récits potentiellement contradictoires.
La conflictualité coutumière des Parcs nationaux français (Larrère et al., 2009) peut ainsi se comprendre à la lueur d’une concurrence des récits et de leurs porteurs, qui peuvent contester ou soutenir la manière propre au Parc national d’administrer, mais aussi de « mettre en récit » le territoire qui le supporte. Le défi actuel des Parcs nationaux français consiste, au regard de la réforme de 2006, à permettre et à accepter que cette mise en récit soit le fruit d’une co-construction élargie, et non plus d’un exercice réservé aux élites scientifiques, politiques et sociales qui ont toujours constitué ses publics de prédilection. En contexte postcolonial comme sur l’ile de La Réunion, ce défi parait d’autant plus aigu que le « concernement » local pour une mise en récit qui soit réparatrice d’injustices culturelle, sociale et environnementale est important, voire sine qua non.Nature du document : Thèse La reconnaissance d’un capital environnemental autochtone ? : Les « Parcs Nationaux à la française » / Bruno Bouet
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Titre : La reconnaissance d’un capital environnemental autochtone ? : Les « Parcs Nationaux à la française » Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Bouet, Auteur ; Ludovic Ginelli, Auteur ; Valérie Deldèvre, Auteur Editeur : VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement Année de publication : 2018 Présentation : photogr. en coul., graph. en coul. Format : Site internet Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:ESPACE NATUREL:ESPACE PROTEGE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE LA REUNION
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DES CALANQUES
[ECOPLANETE] 0400 - VIE PUBLIQUE ET SOCIETE:0403 - ECONOMIE:ECONOMIE:CONJONCTURE ECONOMIQUE:DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE:DEVELOPPEMENT LOCAL
[ECOPLANETE] 0500 - DROIT:0502 - DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:POLICE DE L'ENVIRONNEMENT:POLICE DES PARCS NATIONAUX
[ECOPLANETE] 0600 - TERRITOIRES:0604 - TOURISME ET PATRIMOINE:PROTECTION DU PATRIMOINE:PATRIMOINE CULTUREL:HISTOIRE LOCALE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1708 - GEOGRAPHIE PHYSIQUE:CALANQUE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONMots-clés : CAPITAL ENVIRONNEMENT AUTOCHTONIE DEVELOPPEMENT LOCAL Résumé : Extrait du site :
Cet article contribue au questionnement général sur le capital environnemental au prisme de la place des usagers « locaux » dans les espaces protégés en France. Il traite, plus précisément, des parcs nationaux français, archétypes de la protection de l’environnement « à la française ». Les usages autochtones et les savoirs environnementaux « locaux », niés dans les premiers parcs nationaux des anciennes colonies, comme en France métropolitaine, se renégocient aujourd’hui, à la faveur de leur réforme (loi de 2006) et d’un contexte national et international marqué à la fois par l’impératif participatif, la reconnaissance de l’autochtonie et l’écologisation de la pensée (Mormont, 2009 ; 2013). Lire ce processus comme la reconnaissance d’un capital environnemental des usagers « locaux » dans les parcs nationaux soulève plusieurs interrogations. À quelles conditions ces usages et savoirs sont-ils reconnus à l’aune de la vision « environnementaliste » de la nature, traditionnellement hégémonique dans les parcs nationaux français ? Qui participe à ce processus et bénéficie de cette reconnaissance ? À travers les exemples des jeunes parcs nationaux des Calanques (2012) et de la Réunion (2007), nous proposerons un éclairage sur la nature des capitaux environnementaux reconnus aux usagers « locaux » dans les parcs nationaux français, en considérant les effets combinés de la reconnaissance de l’autochtonie et de l’impératif écologique. Jusqu’à quel point le processus en cours élargit-il la définition des « publics » des usagers de la nature protégée et lesquels en demeurent exclus ?
Au sommaire :
- Introduction
- Autochtonie et environnement : une approche en termes de capital
Quelques jalons pour penser l’autochtonie
Du « capital d’autochtonie »…
… au « capital environnemental autochtone »
La reconnaissance des populations locales dans les PN d’hier à aujourd’hui : un équilibre en perpétuel déplacement ?
- Constituer un « capital environnemental autochtone ». Le cas du parc national des Calanques
Une reconnaissance du local limitée aux « publics forts »
Un capital environnemental « autochtone » cristallisé dans la participation/contestation
Dans les épreuves publiques, construire en capital l’expertise environnementale des usagers locaux
Ressources politiques et mobilisations citoyennes, l’autre facette du capital environnemental autochtone
Un capital compensatoire ou cumulatif ?
- Capital environnemental et capital autochtone en tension ? Le Parc national de la Réunion
Quand la primauté de l’endémisme limite l’accès au capital environnemental autochtone
Un impératif de développement peu favorable à la reconnaissance des ressources locales environnementales
Conclusion
La notion de capital d’autochtonie pour penser celle de capital environnemental ?Note de contenu : Article scientifique sur VertigO, revue électronique en sciences de l'environnement - Hors-série 29, mars 2018.
Vous pouvez consulter l'intégralité de ce document à l'adresse suivante :Nature du document : Article scientifique En ligne : http://journals.openedition.org/vertigo/19025 Format de la ressource électronique : Site internet La reconnaissance d’un capital environnemental autochtone ? : Les « Parcs Nationaux à la française » [texte imprimé] / Bruno Bouet, Auteur ; Ludovic Ginelli, Auteur ; Valérie Deldèvre, Auteur . - [S.l.] : VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement, 2018 . - : photogr. en coul., graph. en coul. ; Site internet.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0201 - POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT:PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:ESPACE NATUREL:ESPACE PROTEGE
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DE LA REUNION
[ECOPLANETE] 0200 - ENVIRONNEMENT:0203 - GESTION ET PROTECTION DES ESPACES NATURELS:PROTECTION DU MILIEU NATUREL:PARC NATIONAL:PARC NATIONAL DES CALANQUES
[ECOPLANETE] 0400 - VIE PUBLIQUE ET SOCIETE:0403 - ECONOMIE:ECONOMIE:CONJONCTURE ECONOMIQUE:DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE:DEVELOPPEMENT LOCAL
[ECOPLANETE] 0500 - DROIT:0502 - DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:DROIT DE L'ENVIRONNEMENT:POLICE DE L'ENVIRONNEMENT:POLICE DES PARCS NATIONAUX
[ECOPLANETE] 0600 - TERRITOIRES:0604 - TOURISME ET PATRIMOINE:PROTECTION DU PATRIMOINE:PATRIMOINE CULTUREL:HISTOIRE LOCALE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1708 - GEOGRAPHIE PHYSIQUE:CALANQUE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONMots-clés : CAPITAL ENVIRONNEMENT AUTOCHTONIE DEVELOPPEMENT LOCAL Résumé : Extrait du site :
Cet article contribue au questionnement général sur le capital environnemental au prisme de la place des usagers « locaux » dans les espaces protégés en France. Il traite, plus précisément, des parcs nationaux français, archétypes de la protection de l’environnement « à la française ». Les usages autochtones et les savoirs environnementaux « locaux », niés dans les premiers parcs nationaux des anciennes colonies, comme en France métropolitaine, se renégocient aujourd’hui, à la faveur de leur réforme (loi de 2006) et d’un contexte national et international marqué à la fois par l’impératif participatif, la reconnaissance de l’autochtonie et l’écologisation de la pensée (Mormont, 2009 ; 2013). Lire ce processus comme la reconnaissance d’un capital environnemental des usagers « locaux » dans les parcs nationaux soulève plusieurs interrogations. À quelles conditions ces usages et savoirs sont-ils reconnus à l’aune de la vision « environnementaliste » de la nature, traditionnellement hégémonique dans les parcs nationaux français ? Qui participe à ce processus et bénéficie de cette reconnaissance ? À travers les exemples des jeunes parcs nationaux des Calanques (2012) et de la Réunion (2007), nous proposerons un éclairage sur la nature des capitaux environnementaux reconnus aux usagers « locaux » dans les parcs nationaux français, en considérant les effets combinés de la reconnaissance de l’autochtonie et de l’impératif écologique. Jusqu’à quel point le processus en cours élargit-il la définition des « publics » des usagers de la nature protégée et lesquels en demeurent exclus ?
Au sommaire :
- Introduction
- Autochtonie et environnement : une approche en termes de capital
Quelques jalons pour penser l’autochtonie
Du « capital d’autochtonie »…
… au « capital environnemental autochtone »
La reconnaissance des populations locales dans les PN d’hier à aujourd’hui : un équilibre en perpétuel déplacement ?
- Constituer un « capital environnemental autochtone ». Le cas du parc national des Calanques
Une reconnaissance du local limitée aux « publics forts »
Un capital environnemental « autochtone » cristallisé dans la participation/contestation
Dans les épreuves publiques, construire en capital l’expertise environnementale des usagers locaux
Ressources politiques et mobilisations citoyennes, l’autre facette du capital environnemental autochtone
Un capital compensatoire ou cumulatif ?
- Capital environnemental et capital autochtone en tension ? Le Parc national de la Réunion
Quand la primauté de l’endémisme limite l’accès au capital environnemental autochtone
Un impératif de développement peu favorable à la reconnaissance des ressources locales environnementales
Conclusion
La notion de capital d’autochtonie pour penser celle de capital environnemental ?Note de contenu : Article scientifique sur VertigO, revue électronique en sciences de l'environnement - Hors-série 29, mars 2018.
Vous pouvez consulter l'intégralité de ce document à l'adresse suivante :Nature du document : Article scientifique En ligne : http://journals.openedition.org/vertigo/19025 Format de la ressource électronique : Site internet