Titre :	Effects of canopy gap size on recruitment and invasion of the non-indigenous Rubus alceifolius in lowland tropical rain forest on Réunion
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Stéphane Baret, Auteur ; Laurent Cournac, Auteur ; Christophe Thébaud, Auteur ; Dominique Strasberg, Auteur ; [et al.], Auteur
Editeur :	Cambridge : Cambridge University Press
Année de publication :	2008
Collection :	Journal of tropical ecology num. 24
Importance :	p. 337-345
Présentation :	ill. en noir et blanc, graph. en noir et blanc
Langues :	Anglais
Mots-clés :	[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0105 - FORET ET SYLVICULTURE:FORET:COUVERT FORESTIER:CANOPEE [ECOPLANETE] 1300 - AIR ET CLIMAT:1301 - CLIMAT ET METEOROLOGIE:METEOROLOGIE:PERTURBATION METEOROLOGIQUE:VENT:CYCLONE [LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION [FLORE] TRACHEOPHYTA:ROSALES:ROSACEAE:RUBUS ALCEIFOLIUS
Résumé :	Article paru dans Journal of Tropical Ecology : Un défi important de la biologie des invasions est de comprendre comment les interactions entre les caractéristiques des espèces et les propriétés des écosystèmes permettent aux espèces étrangères de devenir envahissantes à des endroits particuliers. Dans la zone d’étude de 12 000 m2, les plantes exotiques occupaient 24,9% de la superficie des lacunes, ce qui représentait 5,62% de la superficie forestière, mais seulement 0,8% de la superficie du sous-sol. L’espèce invasive la plus abondante était Rubus alceifolius, qui formait des peuplements denses et monospécifiques dans les plus grandes trouées (> 25 m2). Bien que les plantes puissent persister à l'ombre, une expérience de germination a révélé que les ouvertures de la canopée étaient essentielles à l'établissement des plantules. Un cyclone qui a frappé la zone d'étude en 2002 a provoqué un amincissement temporaire du couvert végétal, augmentant les niveaux de lumière au-dessus du seuil requis pour la germination de R. alceifolius et stimulant également la croissance des plantes établies. Nous concluons que la capacité de cette espèce et d’autres espèces exotiques à coloniser une forêt tropicale humide de plaine intacte est fortement influencée par la dynamique des brèches qui prévaut. Les brèches étant également essentielles pour la régénération de nombreux arbres indigènes dans notre zone d'étude, il existe un risque réel que la forêt soit progressivement dégradée par des plantes exotiques. Il n’existe pas de solution simple au contrôle d’espèces telles que Rubus alceifolius, mais les efforts devraient porter principalement sur les brèches les plus vastes où les espèces sont les plus envahissantes.
Nature du document :	Article scientifique
Code fiches action :	P01/P01-04

Effects of canopy gap size on recruitment and invasion of the non-indigenous Rubus alceifolius in lowland tropical rain forest on Réunion [texte imprimé] / Stéphane Baret, Auteur ; Laurent Cournac, Auteur ; Christophe Thébaud, Auteur ; Dominique Strasberg, Auteur ; [et al.], Auteur . - Cambridge : Cambridge University Press, 2008 . - p. 337-345 : ill. en noir et blanc, graph. en noir et blanc. - (Journal of tropical ecology; 24) .
Langues : Anglais

Mots-clés :	[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0105 - FORET ET SYLVICULTURE:FORET:COUVERT FORESTIER:CANOPEE [ECOPLANETE] 1300 - AIR ET CLIMAT:1301 - CLIMAT ET METEOROLOGIE:METEOROLOGIE:PERTURBATION METEOROLOGIQUE:VENT:CYCLONE [LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION [FLORE] TRACHEOPHYTA:ROSALES:ROSACEAE:RUBUS ALCEIFOLIUS
Résumé :	Article paru dans Journal of Tropical Ecology : Un défi important de la biologie des invasions est de comprendre comment les interactions entre les caractéristiques des espèces et les propriétés des écosystèmes permettent aux espèces étrangères de devenir envahissantes à des endroits particuliers. Dans la zone d’étude de 12 000 m2, les plantes exotiques occupaient 24,9% de la superficie des lacunes, ce qui représentait 5,62% de la superficie forestière, mais seulement 0,8% de la superficie du sous-sol. L’espèce invasive la plus abondante était Rubus alceifolius, qui formait des peuplements denses et monospécifiques dans les plus grandes trouées (> 25 m2). Bien que les plantes puissent persister à l'ombre, une expérience de germination a révélé que les ouvertures de la canopée étaient essentielles à l'établissement des plantules. Un cyclone qui a frappé la zone d'étude en 2002 a provoqué un amincissement temporaire du couvert végétal, augmentant les niveaux de lumière au-dessus du seuil requis pour la germination de R. alceifolius et stimulant également la croissance des plantes établies. Nous concluons que la capacité de cette espèce et d’autres espèces exotiques à coloniser une forêt tropicale humide de plaine intacte est fortement influencée par la dynamique des brèches qui prévaut. Les brèches étant également essentielles pour la régénération de nombreux arbres indigènes dans notre zone d'étude, il existe un risque réel que la forêt soit progressivement dégradée par des plantes exotiques. Il n’existe pas de solution simple au contrôle d’espèces telles que Rubus alceifolius, mais les efforts devraient porter principalement sur les brèches les plus vastes où les espèces sont les plus envahissantes.
Nature du document :	Article scientifique
Code fiches action :	P01/P01-04