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Biological invasions
Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees / Dave Goulson
Titre : Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees Type de document : texte imprimé Auteurs : Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2008 Collection : Biodiversity and Conservation Importance : 20 p. Présentation : graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees [texte imprimé] / Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur . - New-York : Springer, 2008 . - 20 p. : graph. en noir et blanc. - (Biodiversity and Conservation) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_591 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt Flowering phenology of Ulex europaeus : ecological consequences of variation within and among populations / Michèle Taraye
Titre : Flowering phenology of Ulex europaeus : ecological consequences of variation within and among populations Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Taraye, Auteur ; Gillianne Bowman, Auteur ; Agnès Schermann-Legionnet, Auteur ; Myriam Barat, Auteur ; [et al.], Auteur Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2007 Collection : Evolutionary Ecology num. 21 Importance : p. 395–409 Présentation : graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE VEGETALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:ESPECE VEGETALE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE:BIOLOGIE VEGETALE
[FLORE] TRACHEOPHYTA:FABALES:FABACEAE:ULEX EUROPAEUSMots-clés : BRETAGNE Résumé : Traduction du résumé : La phénologie de la reproduction des ajoncs (Ulex europaeus L., Genisteae, Fabaceae) est inhabituelle en ce que le début et la durée de la floraison varient considérablement selon les individus au sein des populations: certaines plantes commencent à fleurir en automne ou en hiver et continuent à fleurir au printemps, d'autres commencent à fleurir tôt printemps. Pour comprendre l’origine de cette diversité et ses conséquences écologiques, nous avons étudié la phénologie de floraison d'individus échantillonnés au hasard dans cinq populations naturelles différentes de Bretagne (France). Le succès de reproduction a été évalué chez des individus présentant des motifs de floraison contrastés parmi 16 populations naturelles. La production de fleurs, la production de gousses, la production de graines et la prédation de graines ont été estimées. Les plantes commençant la floraison au printemps ont produit un plus grand nombre de fleurs et de gousses sur une période plus courte que les plantes qui fleurissent d’hiver au printemps, produisant peu de fleurs et de gousses à la fois mais sur une plus longue période. La production de gousses des plantes à fleurs longues ne différait pas de manière significative entre l'hiver et le printemps, mais leurs gousses étaient plus intensément attaquées par les prédateurs de semences au printemps qu'en hiver. Nous discutons de nos résultats en relation avec les paramètres biotiques et abiotiques. Nous postulons que la floraison longue peut être interprétée comme une stratégie de couverture, générant le risque de défaillance des gousses (pourriture ou gel) en hiver et de prédation des semences au printemps. Nature du document : Article scientifique Code fiches action : P01 Flowering phenology of Ulex europaeus : ecological consequences of variation within and among populations [texte imprimé] / Michèle Taraye, Auteur ; Gillianne Bowman, Auteur ; Agnès Schermann-Legionnet, Auteur ; Myriam Barat, Auteur ; [et al.], Auteur . - New-York : Springer, 2007 . - p. 395–409 : graph. en noir et blanc. - (Evolutionary Ecology; 21) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE VEGETALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:ESPECE VEGETALE
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE:BIOLOGIE VEGETALE
[FLORE] TRACHEOPHYTA:FABALES:FABACEAE:ULEX EUROPAEUSMots-clés : BRETAGNE Résumé : Traduction du résumé : La phénologie de la reproduction des ajoncs (Ulex europaeus L., Genisteae, Fabaceae) est inhabituelle en ce que le début et la durée de la floraison varient considérablement selon les individus au sein des populations: certaines plantes commencent à fleurir en automne ou en hiver et continuent à fleurir au printemps, d'autres commencent à fleurir tôt printemps. Pour comprendre l’origine de cette diversité et ses conséquences écologiques, nous avons étudié la phénologie de floraison d'individus échantillonnés au hasard dans cinq populations naturelles différentes de Bretagne (France). Le succès de reproduction a été évalué chez des individus présentant des motifs de floraison contrastés parmi 16 populations naturelles. La production de fleurs, la production de gousses, la production de graines et la prédation de graines ont été estimées. Les plantes commençant la floraison au printemps ont produit un plus grand nombre de fleurs et de gousses sur une période plus courte que les plantes qui fleurissent d’hiver au printemps, produisant peu de fleurs et de gousses à la fois mais sur une plus longue période. La production de gousses des plantes à fleurs longues ne différait pas de manière significative entre l'hiver et le printemps, mais leurs gousses étaient plus intensément attaquées par les prédateurs de semences au printemps qu'en hiver. Nous discutons de nos résultats en relation avec les paramètres biotiques et abiotiques. Nous postulons que la floraison longue peut être interprétée comme une stratégie de couverture, générant le risque de défaillance des gousses (pourriture ou gel) en hiver et de prédation des semences au printemps. Nature du document : Article scientifique Code fiches action : P01 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_570 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Espèces invasives Exclu du prêt vol. 7. Plant Invasions in Protected Areas : Patterns, Problems and Challenges / Llewellyn C. Foxcroft
Titre : Plant Invasions in Protected Areas : Patterns, Problems and Challenges Type de document : texte imprimé Auteurs : Llewellyn C. Foxcroft, Editeur scientifique ; Petr Pyšek, Editeur scientifique ; David M. Richardson, Editeur scientifique Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2013 Importance : 1 vol. (656 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-94-007-7749-1 Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0701 - AGRICULTURE:AGRICULTURE:AGRICULTURE BIOLOGIQUE:LUTTE BIOLOGIQUERésumé : Cet ouvrage rassemble les écrits scientifiques autour de l'invasion végétale en espaces naturels :
Part 1 : Setting the scene : Impacts, Processes and Opportunities
Part 2 : Regional Patterns : Mapping the Threats from Plant Invasions in Protected Areas
Part 3 : Managing Invasions in Protected Areas : From prevention to restoration
Conclusion : Invasive Alien plants in Protected Areas : Threats, Opportunities, and the Way ForwardNature du document : Monographie Plant Invasions in Protected Areas : Patterns, Problems and Challenges [texte imprimé] / Llewellyn C. Foxcroft, Editeur scientifique ; Petr Pyšek, Editeur scientifique ; David M. Richardson, Editeur scientifique . - New-York : Springer, 2013 . - 1 vol. (656 p.) ; 24 cm.
ISBN : 978-94-007-7749-1
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE:ESPECE INVASIVE
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0701 - AGRICULTURE:AGRICULTURE:AGRICULTURE BIOLOGIQUE:LUTTE BIOLOGIQUERésumé : Cet ouvrage rassemble les écrits scientifiques autour de l'invasion végétale en espaces naturels :
Part 1 : Setting the scene : Impacts, Processes and Opportunities
Part 2 : Regional Patterns : Mapping the Threats from Plant Invasions in Protected Areas
Part 3 : Managing Invasions in Protected Areas : From prevention to restoration
Conclusion : Invasive Alien plants in Protected Areas : Threats, Opportunities, and the Way ForwardNature du document : Monographie Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PNR0000005175 101.13.01 FOX Ouvrage Centre de documentation siège Espèces invasives Disponible The utility of existing passerine microsatellite markers for genetic studies in endangered species : as demonstrated for a critically endangered forest bird endemic to Réunion Island, the Re´union cuckooshrike (Coracina newtoni) / Jordi Salmona
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Titre : The utility of existing passerine microsatellite markers for genetic studies in endangered species : as demonstrated for a critically endangered forest bird endemic to Réunion Island, the Re´union cuckooshrike (Coracina newtoni) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jordi Salmona, Auteur ; Damien Fouillot, Auteur ; Thomas Ghestemme, Auteur ; Marc Salamolard, Auteur ; [et al.], Auteur Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2010 Collection : Conservation Genetics Resources Importance : n.p. [ca 4] Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:RESSOURCE GENETIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOGEOGRAPHIE:ESPECE ENDEMIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:OISEAU
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE:GENETIQUE
[FAUNE] OISEAUX:PASSERIFORMES:CAMPEPHAGIDES:CORACINA NEWTONIRésumé : Article paru dans le journal Conservation Genetics Resources :
Les données génétiques sont de plus en plus reconnues pour leur utilité dans les programmes de conservation. Cependant, de nombreuses espèces en danger appartiennent à des familles peu étudiées. En raison de l'urgence de leur état de conservation, il est important d'identifier rapidement les locus microsatellites polymorphes à partir des ressources disponibles. Nous montrons avec Coracina newtoni, l'échenilleur de la Réunion, que cette stratégie peut être très utile. En utilisant 110 jeux d’amorces microsatellites de passereaux, nous avons identifié 18 locus polymorphes et les avons testés chez 25 individus de C. newtoni. Suite à une correction de Bonferroni, une paire de loci a présenté un déséquilibre de liaison (valeur p \ 0,0001).En ligne : https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs12686-010-9254-x Format de la ressource électronique : Site internet The utility of existing passerine microsatellite markers for genetic studies in endangered species : as demonstrated for a critically endangered forest bird endemic to Réunion Island, the Re´union cuckooshrike (Coracina newtoni) [texte imprimé] / Jordi Salmona, Auteur ; Damien Fouillot, Auteur ; Thomas Ghestemme, Auteur ; Marc Salamolard, Auteur ; [et al.], Auteur . - New-York : Springer, 2010 . - n.p. [ca 4]. - (Conservation Genetics Resources) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIODIVERSITE:RESSOURCE GENETIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:BIOGEOGRAPHIE:ESPECE ENDEMIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:OISEAU
[ECOPLANETE] 1700 - SCIENCES:1703 - SCIENCES DE LA VIE:SCIENCES DE LA VIE:BIOLOGIE:GENETIQUE
[FAUNE] OISEAUX:PASSERIFORMES:CAMPEPHAGIDES:CORACINA NEWTONIRésumé : Article paru dans le journal Conservation Genetics Resources :
Les données génétiques sont de plus en plus reconnues pour leur utilité dans les programmes de conservation. Cependant, de nombreuses espèces en danger appartiennent à des familles peu étudiées. En raison de l'urgence de leur état de conservation, il est important d'identifier rapidement les locus microsatellites polymorphes à partir des ressources disponibles. Nous montrons avec Coracina newtoni, l'échenilleur de la Réunion, que cette stratégie peut être très utile. En utilisant 110 jeux d’amorces microsatellites de passereaux, nous avons identifié 18 locus polymorphes et les avons testés chez 25 individus de C. newtoni. Suite à une correction de Bonferroni, une paire de loci a présenté un déséquilibre de liaison (valeur p \ 0,0001).En ligne : https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs12686-010-9254-x Format de la ressource électronique : Site internet Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_319 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt Climate change and population declines in a long-distance migratory bird / Christiaan Both
PermalinkArthonia borbonica (Ascomycota, Arthoniales), a new species from La Réunion / Damien Ertz
PermalinkThe invasive woody weed Ligustrum robustum subsp. walkeri threatens native forests on La Réunion / Christophe Lavergne
PermalinkAuto-pollination in a long-spurred endemic orchid (Jumellea stenophylla) on Reunion Island (Mascarene Archipelago, Indian Ocean) / Claire Micheneau
PermalinkAn assessment of habitat diversity and transformation on La Réunion Island (Mascarene Islands, Indian Ocean) as a basis for identifying broad-scale conservation priorities / Dominique Strasberg
PermalinkThe diet of feral cats on islands : a review and a call for more studies / Elsa Bonnaud
PermalinkThe complete phylogeny of Pseudobulweria, the most endangered seabird genus : systematics, species status and conservation implications / Benoit Gangloff
PermalinkLarge-scale mitochondrial DNA analysis of native honey bee Apis mellifera populations reveals a new African subgroup private to the South West Indian Ocean islands / Maeva Angélique Techer
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