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ECOPLANETE > 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS > 0102 - ETRES VIVANTS > FLORE > VEGETAL > POLLEN
POLLEN |
Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesBumblebee flight distances in relation to the forage landscape / Juliet L. Osborne
Titre : Bumblebee flight distances in relation to the forage landscape Type de document : texte imprimé Auteurs : Juliet L. Osborne, Auteur ; Andrew P. Martin, Auteur ; Norman L. Carreck, Auteur ; Jennifer L. Swain, Auteur ; [et al.], Auteur Editeur : Oxford : Wiley-Blackwell Année de publication : 2008 Collection : Journal of Animal Ecology num. 77 Importance : p. 406-415 Présentation : cartogr. en noir et blanc, graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE ANIMALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE ANIMALE:COMPORTEMENT ANIMAL
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:HYMENOPTERE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : BUTINAGE COLONIE BOURRACHE Résumé : Traduction du résumé : 1. L’aire de fourrage est un aspect essentiel de l’écologie des «butineurs de place centrale». Il est essentiel d'estimer la distance parcourue par les abeilles dans différentes circonstances pour prévoir le succès des colonies et pour estimer le flux de gènes induit par les abeilles entre les populations de plantes. Il est susceptible d'être fortement influencé par la distribution des fourrages, ce qui est difficile à quantifier dans tous les paysages, sauf les plus simples. et les théories sur la distance de recherche de nourriture tendent à supposer une distribution homogène du fourrage.
2. Nous avons quantifié la distribution du bourdon Bombus terrestris L. loin des colonies positionnées de manière expérimentale, dans un paysage agricole, en utilisant deux méthodes. Nous avons massé les butineurs en quittant la colonie et analysé le pollen des butineuses retournant dans les colonies.
Les données ont été définies dans le contexte du "paysage fourrager": une carte de la distribution spatiale du fourrage telle que déterminée à partir de données de télédétection. À notre connaissance, c’est la première fois que des données empiriques sur les distances de recherche de nourriture et la disponibilité de fourrage, à cette résolution et à cette échelle, sont collectées et combinées pour les bourdons.
3. Les abeilles butinaient à au moins 1,5 km de leurs colonies et la proportion de butineuses volant dans un champ diminuait de façon approximativement linéaire avec une distance radiale. Dans ce paysage, la disponibilité en fourrage variait beaucoup à moins de 500 m des colonies mais peu au-delà de 1 km, quelle que soit l’emplacement de la colonie.
4. L'ampleur des fourrages de B. terrestris était suffisante pour atténuer les effets de l'hétérogénéité des champs fourragers et des cultures en fleurs, mais les espèces d'abeilles dont l'aire de pâturage est plus courte peuvent connaître un succès très variable selon les colonies.Nature du document : Article scientifique Bumblebee flight distances in relation to the forage landscape [texte imprimé] / Juliet L. Osborne, Auteur ; Andrew P. Martin, Auteur ; Norman L. Carreck, Auteur ; Jennifer L. Swain, Auteur ; [et al.], Auteur . - Oxford : Wiley-Blackwell, 2008 . - p. 406-415 : cartogr. en noir et blanc, graph. en noir et blanc. - (Journal of Animal Ecology; 77) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE ANIMALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:ECOLOGIE ANIMALE:COMPORTEMENT ANIMAL
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:HYMENOPTERE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : BUTINAGE COLONIE BOURRACHE Résumé : Traduction du résumé : 1. L’aire de fourrage est un aspect essentiel de l’écologie des «butineurs de place centrale». Il est essentiel d'estimer la distance parcourue par les abeilles dans différentes circonstances pour prévoir le succès des colonies et pour estimer le flux de gènes induit par les abeilles entre les populations de plantes. Il est susceptible d'être fortement influencé par la distribution des fourrages, ce qui est difficile à quantifier dans tous les paysages, sauf les plus simples. et les théories sur la distance de recherche de nourriture tendent à supposer une distribution homogène du fourrage.
2. Nous avons quantifié la distribution du bourdon Bombus terrestris L. loin des colonies positionnées de manière expérimentale, dans un paysage agricole, en utilisant deux méthodes. Nous avons massé les butineurs en quittant la colonie et analysé le pollen des butineuses retournant dans les colonies.
Les données ont été définies dans le contexte du "paysage fourrager": une carte de la distribution spatiale du fourrage telle que déterminée à partir de données de télédétection. À notre connaissance, c’est la première fois que des données empiriques sur les distances de recherche de nourriture et la disponibilité de fourrage, à cette résolution et à cette échelle, sont collectées et combinées pour les bourdons.
3. Les abeilles butinaient à au moins 1,5 km de leurs colonies et la proportion de butineuses volant dans un champ diminuait de façon approximativement linéaire avec une distance radiale. Dans ce paysage, la disponibilité en fourrage variait beaucoup à moins de 500 m des colonies mais peu au-delà de 1 km, quelle que soit l’emplacement de la colonie.
4. L'ampleur des fourrages de B. terrestris était suffisante pour atténuer les effets de l'hétérogénéité des champs fourragers et des cultures en fleurs, mais les espèces d'abeilles dont l'aire de pâturage est plus courte peuvent connaître un succès très variable selon les colonies.Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_756 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt
Titre : Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees Type de document : texte imprimé Auteurs : Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur Editeur : New-York : Springer Année de publication : 2008 Collection : Biodiversity and Conservation Importance : 20 p. Présentation : graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Diet breadth, coexistence and rarity in bumblebees [texte imprimé] / Dave Goulson, Auteur ; Gillian C. Lye, Auteur ; Ben Darvill, Auteur . - New-York : Springer, 2008 . - 20 p. : graph. en noir et blanc. - (Biodiversity and Conservation) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:COMPETITION ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:BOURDONMots-clés : Hymenoptera Bombus composition de communauté Résumé : Traduction du résumé : Les facteurs qui déterminent l'abondance relative des espèces de bourdons restent mal compris, ce qui rend difficile la gestion des espèces rares et en déclin. Des études sur les communautés de bourdons dans les Amériques suggèrent qu'il existe de fortes interactions compétitives entre des espèces de langue de même longueur et que cette concurrence détermine l'abondance relative des espèces. En revanche, en Europe, il est fréquent d’observer la coexistence de plusieurs espèces à langue écarlate, avec peu ou pas d’éléments indiquant que la concurrence façonne la structure de la communauté.
Dans cette étude, nous examinons les schémas d'abondance et de répartition dans l'une des communautés de bourdons les plus diverses d'Europe, située dans les montagnes du sud de la Pologne. Nous quantifions l'utilisation du fourrage lors de la collecte de nectar et de pollen pour 23 espèces de bourdons, et examinons les schémas de cooccurrence et de chevauchement de niche pour déterminer s'il existe des preuves d'une concurrence interspécifique. Nous testons également si la rareté peut être expliquée par l'ampleur du régime.
Jusqu'à 16 espèces coexistent au sein de sites uniques, la richesse en espèces culminant dans les alpages à * 1 000 m d'altitude. Les résultats concordent avec les études précédentes indiquant que la majorité du pollen collecté par les bourdons provient de Fabaceae, mais que certaines espèces d'abeilles (par exemple, B. ruderatus) sont beaucoup plus fortement dépendantes de Fabaceae que d'autres (par exemple, B. lucorum). Les espèces qui se nourrissent principalement de Fabaceae ont tendance à avoir une longue langue. À l'instar des études menées au Royaume-Uni, l'ampleur de l'alimentation était corrélée à l'abondance: les espèces les plus rares avaient tendance à fréquenter moins d'espèces de fleurs, après correction des différences de taille de l'échantillon. Aucune preuve n'a été trouvée pour la similarité de longueur de langue ou de chevauchement alimentaire influant sur la probabilité de cooccurrence d'espèces. Cependant, les espèces les plus abondantes (qui co-existaient dans la plupart des sites) occupaient une niche alimentaire distincte.
Alors que les espèces de langue similaire avaient tendance à avoir un chevauchement alimentaire plus important dans la niche, parmi le groupe d’abondantes espèces à langue courte qui coexistaient généralement, il existait une différenciation diététique marquée qui pouvait expliquer leur coexistence.Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_591 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt
Titre : Ecologie reproductive de Calanthe Sylvatica (Orchidaceae) en forêt de Bébour Type de document : texte imprimé Auteurs : Amanda Dages, Auteur ; Jeanne Eisenbach, Auteur Editeur : Saint-Denis : Université de La Réunion Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (24 p.) Présentation : couv. ill. en coul., ill. en coul., graph. en noir et blanc Format : 30 cm Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:REPRODUCTION VEGETALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0104 - NOMS VERNACULAIRES VEGETAUX:ORCHIDEE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION:BOIS:FORET DEPARTEMENTO-DOMANIALE DE BEBOURMots-clés : CALANTHE SYLVATICA MACROGLOSSUM MILVUS BEBOUR ORCHIEE TROMPEUSE STRATEGIE D'ATTRACTION Résumé : Résumé : Plusieurs études ont montré que les orchidées n'offrant pas de récompense à leur pollinisateur ont une faible fécondité. L'étude de 115 individus de la population de "Calanthe sylvatica" (Thours) Lindley de Bébour portant sur le transfert de pollen lors de la saison de floraison octobre-janvier a permis de constater les rapports entre différents éléments, dont le transfert maximal, en relation avec l'ouverture du Chassalia.
Cette étude met en lumière l'écologie reproductive de la "Calanthe sylvatica" à travers l'activité du pollinisateur, les éventuelles variations deans les flux de pollen (prélèvement et dépôt de pollinies), les conditions de refloraison d'une année sur l'autre ainsi que quelques unes des composantes du succès reproducteur (couleur, hauteur, nombre de fleurs ou position de la fleur dans l'inflorescence).
Au sommaire :
PARTIE I : MATERIEL ET METHODES
- Site d'étude
- Matériel biologique
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle : flux de pollen / fécondité / test de l'activité du pollinisateur / test sur les conditions de refloraison
- Stratégie d'attraction du pollinisateur : polymorphisme de la couleur des individus / nombre de fleurs par inflorescence / hauteur de l'inflorescence
PARTIE II : RESULTATS
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle : flux de pollen / fécondité et activité du pollinisateur / refloraison
- Stratégie d'attraction du pollinisateur : polymorphisme de la couleur des individus / nombre de fleurs / hauteur de l'inflorescence
PARTIE III : DISCUSSION
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle
- Stratégie d'attraction du pollinisateur / recherches futuresNote de contenu : Maitrise de biologie des populations et des écosystèmes. Année 2003-2004.
Stage effectué au laboratoire de biologie végétale sous la direction scientifique de Thierry Paillier.
Annotations et correction au crayon de papier.Nature du document : Rapport de stage Ecologie reproductive de Calanthe Sylvatica (Orchidaceae) en forêt de Bébour [texte imprimé] / Amanda Dages, Auteur ; Jeanne Eisenbach, Auteur . - Saint-Denis : Université de La Réunion, 2004 . - 1 vol. (24 p.) : couv. ill. en coul., ill. en coul., graph. en noir et blanc ; 30 cm.
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0101 - ECOLOGIE:ECOLOGIE:EQUILIBRE ECOLOGIQUE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:REPRODUCTION VEGETALE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0104 - NOMS VERNACULAIRES VEGETAUX:ORCHIDEE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNION:BOIS:FORET DEPARTEMENTO-DOMANIALE DE BEBOURMots-clés : CALANTHE SYLVATICA MACROGLOSSUM MILVUS BEBOUR ORCHIEE TROMPEUSE STRATEGIE D'ATTRACTION Résumé : Résumé : Plusieurs études ont montré que les orchidées n'offrant pas de récompense à leur pollinisateur ont une faible fécondité. L'étude de 115 individus de la population de "Calanthe sylvatica" (Thours) Lindley de Bébour portant sur le transfert de pollen lors de la saison de floraison octobre-janvier a permis de constater les rapports entre différents éléments, dont le transfert maximal, en relation avec l'ouverture du Chassalia.
Cette étude met en lumière l'écologie reproductive de la "Calanthe sylvatica" à travers l'activité du pollinisateur, les éventuelles variations deans les flux de pollen (prélèvement et dépôt de pollinies), les conditions de refloraison d'une année sur l'autre ainsi que quelques unes des composantes du succès reproducteur (couleur, hauteur, nombre de fleurs ou position de la fleur dans l'inflorescence).
Au sommaire :
PARTIE I : MATERIEL ET METHODES
- Site d'étude
- Matériel biologique
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle : flux de pollen / fécondité / test de l'activité du pollinisateur / test sur les conditions de refloraison
- Stratégie d'attraction du pollinisateur : polymorphisme de la couleur des individus / nombre de fleurs par inflorescence / hauteur de l'inflorescence
PARTIE II : RESULTATS
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle : flux de pollen / fécondité et activité du pollinisateur / refloraison
- Stratégie d'attraction du pollinisateur : polymorphisme de la couleur des individus / nombre de fleurs / hauteur de l'inflorescence
PARTIE III : DISCUSSION
- Ecologie florale et fécondité en condition naturelle
- Stratégie d'attraction du pollinisateur / recherches futuresNote de contenu : Maitrise de biologie des populations et des écosystèmes. Année 2003-2004.
Stage effectué au laboratoire de biologie végétale sous la direction scientifique de Thierry Paillier.
Annotations et correction au crayon de papier.Nature du document : Rapport de stage Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PNR0000005386 102.02 DAG Ouvrage Centre de documentation siège Flore Disponible
Titre : Fleurs apiphiles d'une île chlorophylle : la volcanique Réunion Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Lavergne (1945-....), Auteur Editeur : [Sainte-Clotilde (Réunion)] : Orphie Année de publication : impr. 2013 Collection : Orphie pratique, ISSN 1769-5910 Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87763-723-7 Note générale : Index Langues : Français Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONRésumé : L'auteur présente les fleurs apiphiles de la Réunion sur un ton humoristique et surtout d'un point de vue qui lui est personnel à travers des anecdotes, des histoires ou des commentaires tout en conservant un aspect scientifique avec l'intégration d'un index des noms vernaculaires de chaque fleur présentée. L'ouvrage aborde un type de flore préconisé par les abeilles (et donc par les apiculteurs) pour leur nectar et établit un lien intéressant entre la production de miel et la flore réunionnaise. Nature du document : Monographie Fleurs apiphiles d'une île chlorophylle : la volcanique Réunion [texte imprimé] / Roger Lavergne (1945-....), Auteur . - [Sainte-Clotilde (Réunion)] : Orphie, impr. 2013 . - 1 vol. (173 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Orphie pratique, ISSN 1769-5910) .
ISBN : 978-2-87763-723-7
Index
Langues : Français
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[LOCALISATION GEOGRAPHIQUE] OCEAN INDIEN:MASCAREIGNES:ILE DE LA REUNIONRésumé : L'auteur présente les fleurs apiphiles de la Réunion sur un ton humoristique et surtout d'un point de vue qui lui est personnel à travers des anecdotes, des histoires ou des commentaires tout en conservant un aspect scientifique avec l'intégration d'un index des noms vernaculaires de chaque fleur présentée. L'ouvrage aborde un type de flore préconisé par les abeilles (et donc par les apiculteurs) pour leur nectar et établit un lien intéressant entre la production de miel et la flore réunionnaise. Nature du document : Monographie Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PNR0000004501 104.06 LAV Ouvrage Centre de documentation siège Flore Disponible
Titre : Foraging behavior and pollinating effectiveness of Osmia cornuta (Hymenoptera: Megachilidae) and Apis mellifera (Hymenoptera: Apidae) on “Comice” pear Type de document : texte imprimé Auteurs : Victor H. Monzon, Auteur ; Jordi Bosch, Auteur ; Javier Retana, Auteur Editeur : Les Ulis : EDP Sciences Année de publication : 2004 Collection : Apidologie num. 35 Importance : p. 575-585 Présentation : graph. en noir et blanc Langues : Anglais Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:HYMENOPTERE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0702 - PRODUCTION VEGETALE - CULTURE:ARBRE FRUITIER:FRUITMots-clés : Osmia cornuta Apis mellifera pollenisation Résumé : Traduction du résumé : Nous avons étudié l’efficacité de la pollinisation de Osmia cornuta et Apis mellifera sur la poire Comice. Osmia cornuta a visité plus de fleurs par minute (13,8) qu'A. Mellifera (7,1 à 9,8). Les deux espèces ont visité un nombre similaire de fleurs par arbre (6,7 à 7,9) et ont changé de rangs avec une fréquence similaire (4,0 à 7,9%). Le taux de contact avec la stigmatisation était de 98,7% pour O. cornuta, de 51,8% pour les butineuses pollen-nectar d’A. Mellifera et de 19,0% pour les butineuses nectar d’A. Mellifera. La nouaison des fruits dans les fleurs visitées une fois était respectivement de 28,9, 29,3 et 12,9%. Le nombre de graines était similaire (7–8 graines par fruit) dans les trois types de fleurs. Les femelles d'Osmia cornuta ont alimenté leur nid avec 94,4% de pollen de poire. La régression multiple pas à pas a montré que la nouaison dans le verger était principalement liée à la taille de l'arbre (arbres avec moins de nouaison) (β = –0,64; P <0,001), tandis que la nouaison au moment de la récolte était mieux expliquée par O cornuta (β = 0,47; P <0,005) et A. mellifera (β = 0,35; P <0,05) distribution spatiale. Nature du document : Article scientifique Foraging behavior and pollinating effectiveness of Osmia cornuta (Hymenoptera: Megachilidae) and Apis mellifera (Hymenoptera: Apidae) on “Comice” pear [texte imprimé] / Victor H. Monzon, Auteur ; Jordi Bosch, Auteur ; Javier Retana, Auteur . - Les Ulis : EDP Sciences, 2004 . - p. 575-585 : graph. en noir et blanc. - (Apidologie; 35) .
Langues : Anglais
Mots-clés : [ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FAUNE:ANIMAL:INSECTE:HYMENOPTERE
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0102 - ETRES VIVANTS:FLORE:VEGETAL:POLLEN
[ECOPLANETE] 0100 - ECOLOGIE/MILIEUX NATURELS :0103 - NOMS VERNACULAIRES ANIMAUX:ABEILLE
[ECOPLANETE] 0700 - AGRICULTURE:0702 - PRODUCTION VEGETALE - CULTURE:ARBRE FRUITIER:FRUITMots-clés : Osmia cornuta Apis mellifera pollenisation Résumé : Traduction du résumé : Nous avons étudié l’efficacité de la pollinisation de Osmia cornuta et Apis mellifera sur la poire Comice. Osmia cornuta a visité plus de fleurs par minute (13,8) qu'A. Mellifera (7,1 à 9,8). Les deux espèces ont visité un nombre similaire de fleurs par arbre (6,7 à 7,9) et ont changé de rangs avec une fréquence similaire (4,0 à 7,9%). Le taux de contact avec la stigmatisation était de 98,7% pour O. cornuta, de 51,8% pour les butineuses pollen-nectar d’A. Mellifera et de 19,0% pour les butineuses nectar d’A. Mellifera. La nouaison des fruits dans les fleurs visitées une fois était respectivement de 28,9, 29,3 et 12,9%. Le nombre de graines était similaire (7–8 graines par fruit) dans les trois types de fleurs. Les femelles d'Osmia cornuta ont alimenté leur nid avec 94,4% de pollen de poire. La régression multiple pas à pas a montré que la nouaison dans le verger était principalement liée à la taille de l'arbre (arbres avec moins de nouaison) (β = –0,64; P <0,001), tandis que la nouaison au moment de la récolte était mieux expliquée par O cornuta (β = 0,47; P <0,005) et A. mellifera (β = 0,35; P <0,05) distribution spatiale. Nature du document : Article scientifique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Num_754 _ _ Fichier numérique Centre de documentation siège Faune Exclu du prêt 
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Permalinkn°172 - janvier 2014 - Numéro spécial Russie (Bulletin de National geographic)
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